La 8ème session du Comité pour la sécurité transfrontalière Cameroun-Nigeria tenue à Abuja du 23 au 26 août derniers devrait donner un coup d’accélérateur dans la lutte que mènent Paul BIYA et Muhamadu BUHARI contre l’insécurité montée d’un cran dans les Zones frontalières respectives.
Boko Haram dans le Nord, et les groupes sécessionnistes dans le NoSo, au-delà de leurs exactions sur les populations, présent négativement sur les économies (échanges commerciaux, notamment) des deux pays.
Pour avoir été désigné Co-président des sessions plénières des sous-commissions, FONGOD Edwin NUVAGA était une «personne clé» de cette 8e session.
Depuis 2020, à la faveur du Forum sur la surveillance douanière, la douane Camerounaise renforce ses missions en matière de protection du territoire national.
À ABUJA, dans le «sous-comité contrôles de la frontière commune Cameroun-Nigéria», le Directeur Général des Douanes a d’ailleurs présenté un exposé sur les mesures urgentes à mettre en œuvre pour le renforcement du contrôle et de la surveillance de la frontière, en général, et les mécanismes de lutte contre la contrebande des marchandises interdites le long de la frontière entre les deux pays, en particulier.
Avec un accent particulier sur le contrôle et la surveillance en période de conflit et la coopération administrative mutuelle.
Pour comprendre l’impact de ces crises sur l’économie du Cameroun, BOUGNA vous propose cette réflexion du Directeur Général des Douanes.
