En quoi ces installations vont-elles participer au développement local ?
L’usine équipera les opérateurs camerounais en engins particulièrement adaptés pour leurs chantiers. A commencer par les collectivités locales, que nous allons accompagner dans le cadre d’un partenariat.
Tractafric Equipement a en effet conclu avec les collectivités locales et le FEICOM un accord pour fournir les mairies en équipements pour la construction et l’entretien de leurs infrastructures routières. La livraison d’un premier lot de sept machines est en cours. Tractafric Equipment va ainsi contribuer activement au développement des régions, en ligne avec le grand projet de décentralisation impulsé par le Président de la République.
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En marge de l’usine, Tractafric Equipment dispose, à Kribi, d’une base technique, avec un atelier spécialisé et un magasin de pièces, qui permettront d’accompagner tous les acteurs de la zone industrialo-portuaire de Kribi, et plus largement tous les opérateurs du sud du pays. Nous leur offrirons un service spécialisé pour l’entretien d’engins de chantiers, des chariots de manutention, des groupes électrogènes et de moteurs.
Il est à noter que nous disposons également à Kribi, d’un centre de formation technique pour les chauffeurs et techniciens camerounais. Tractafric Equipmeent, qui à ce jour forme déjà 1500 personnes par an au Cameroun, va donc encore augmenter le volume d’heures de formation dispensées. Nous allons ainsi opérer des transferts de compétences, clé d’un développement durable du pays.
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Cette base s’ajoute à celles de Douala, Yaoundé et Garoua pour couvrir 100% du territoire national. Nous comptons aujourd’hui près de 250 salariés, au service de plus de 1 000 clients, pour 6 500 équipements suivis dans le pays, dont 500 de la gamme SEM. Avec la nouvelle base de Kribi, notre service va se trouver encore étendu.
Vous parlez d’une seconde phase. Quels sont vos projets de développement à Kribi ?
Vous avez aujourd’hui sous les yeux le résultat de la première phase de construction du complexe. Celle-ci a nécessité plus de 2 milliards de FCFA d’investissements pour les seules infrastructures. Les installations s’étendent sur une aire de trois hectares. Avec 2 500 m2 de locaux couverts. Avec une ligne d’assemblage, l’usine permet à ce jour d’assembler pas moins de 250 machines par an.
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L’usine a été conçue de manière à pouvoir augmenter la production dans un second temps si la demande est au rendez-vous. L’usine offre en effet l’espace nécessaire pour accueillir une seconde ligne d’assemblage.
Qui plus est, cette première expérience d’assemblage d’équipements ouvre potentiellement la voie à d’autres opérations du même ordre. Après les équipements TP, nous pouvons imaginer d’assembler d’autres types de matériels de chantier. La réflexion est en cours et nous espérons pouvoir vous informer des suites prochainement.
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