Vous avez présidé l’ouverture officielle de la deuxième édition du Salon de l’automobile et de la sécurité routière (SASPRO 2018). Dans un contexte marqué par la sortie du ministre des Transports pour annoncer des mesures spéciales de contrôle pendant la période des fêtes de fin d’année. Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?
La période des fêtes de fin d’année est une période de très grande activité. Il faut solliciter les consciences des usagers, pour qu’ils mettent l’aspect sécurité dans leur planning. En sachant que tout le monde va emprunter les routes. Il y en a qui offrent les services dans leur mobilité, et ceux qui offrent la mobilité. Il faut que les gens sachent que plus on observe le Code de la route, mieux on sécurise les vies.
Ces différentes interpellations du ministre des Transports, sur haute instruction du Premier ministre, Chef du gouvernement, rappelle le souci qui est le nôtre. Réduire au maximum les accidents sur nos routes.
Pour revenir au Salon de l’automobile et de la sécurité routière, quelle est, selon vous, l’importance d’un tel événement ?
Nous nous sommes engagés au niveau des Nations Unies, pour que d’ici 2020, nous réduisions les accidents sur nos routes de près de 50%. Ça passe par la sensibilisation, ça passe par l’appel à l’observation de la réglementation en la matière aux usagers de la route. Un événement comme le Salon de l’automobile et de la Sécurité routière rentre dans cette politique.
J’ai été instruit par le Premier ministre, au nom du ministre des Transports de venir ouvrir ce salon qui est important et stratégique pour le gouvernement camerounais.
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