En l’espace de trois jours, les équipes opérationnelles de Bolloré Transport & Logistics et SOCOPAO au Cameroun, ont assuré la livraison de 11 000 tonnes de blé en vrac pour le compte de Africa Food Industry S.A. (AFISA).
Les opérations menées du 1er au 04 août derniers, « consistaient en la gestion des formalités de consignation maritime et douanière, la manutention bord/terre, le transport et la livraison sur site client », précise la filiale du groupe Bolloré au Cameroun.
Le blé en vrac ainsi importé par Africa Food Industry est destiné à la transformation de la farine pour certaines industries locales. Pour rappel, dans le cadre de l’exercice budgétaire en cours, le Cameroun prévoit d’importer 900 000 tonnes de blé.
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Une prévision en hausse de 8,4%, par rapport à l’exercice 2019, au cours duquel 830 000 tonnes de blé avaient été importées, renseignent les équipes du Ministère du Commerce (Mincommerce).
Les 900 000 tonnes de blé importé permettront aux meuniers en activité sur le territoire national de produire environ 715 000 tonnes de farine. Soit plus de 50 000 tonnes de plus que ce qui avait été produit en 2019.
« Malgré la pandémie du Covid-19, Bolloré Transport & Logistics maintient les approvisionnements des pays du Golfe de Guinée en denrées alimentaires et produits essentiels tout en respectant les mesures barrières édictées par l’Organisation Mondiale de la Santé », se réjouit le logisticien.
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En effet, depuis le mois de mars, ces équipes ont réalisé des livraisons de différentes cargaisons (denrées alimentaires, produits sanitaires, équipements médicaux, etc.) pour divers pays à travers le monde.
En offrant à ses clients des délais réduits, malgré le contexte sanitaire marqué par la crise du Coronavirus. Avant AFISA, Bolloré Transport & Logistics a notamment assuré la livraison 202 colis de divers matériels sanitaires d’un poids total de 15 tonnes pour le compte de la représentation du Programme Alimentaire Mondial au Cameroun (PAM).
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Du blé, que nous avons dans ce pays aussi. Nous pouvons en exporter aussi, pourquoi l’état.n’intensifie pas la production de cette denrée qui n’est même pas essentielle pour notre alimentation ?
C’est pareil 2avec le riz, 20’000 tonnes.importees et les.gens s’en réjouissent..