Le Cameroun et la France ont engagé des consultations pour aboutir à la ratification d’un nouvel accord sur les services aériens. Ces 1er et 02 février, les délégations des deux pays ont ouvert les consultations dans les locaux de l’Ecole de Formation de la CCAA.
Assoumou Paule épouse KOKI, Directrice Générale de la Cameroon Civil Aviation Authority (CCAA), et Emmanuel Vivet, Directeur adjoint des services aériens à la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) conduisaient les délégations des deux pays (Photo).
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L’accord aérien qui lie le Cameroun à la France actuellement est vieux de 50 ans. Il avait été ratifié le 21 février 1974, ce qui explique la nécessité de l’actualiser. Nos sources au sein de la CCAA précisent qu’en plus de la mise à jour envisagée, « l’objectif de ces consultations aéronautiques était également à discuter de l’évolution du nombre total de fréquences dont bénéficient les transporteurs aériens désignés de chaque partie ».
A l’issue des consultations de deux jours, les deux chefs de délégation ont paraphé le nouvel accord. Il s’agit évidemment d’une première étape. « Les prochaines étapes consisteront en la signature officielle de l’accord par les plénipotentiaires de chaque pays, suivi de l’accomplissement des formalités constitutionnelles requises pour son entrée en vigueur », précise l’Autorité aéronautique.
Renouvellement tous azimuts
Ces dernières années, l’Etat du Cameroun mène des consultations visant à renouveler ses accords sur les services aériens noués avec plusieurs pays. Début décembre 2023 par exemple, un pas a été franchi dans le projet de ratification d’accords sur l’exploitation de services aériens avec neuf pays. Il s’agit du Mozambique, du Royaume Uni, de la Sierra Leone, du Liban, de l’Allemagne, de la Finlande, d’Oman, du Koweit et du Quatar.
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La signature de ces accords s’était faite à Riyadh en Arabie Saoudite, au cours de la 15e édition de la Conférence de l’OACI sur les négociations des Accords aériens (ICAN 2023).
ICAN est une plateforme de rencontre centrale permettant aux États de mener de multiples négociations ou consultations bilatérales, régionales ou plurilatérale sur les services aériens.
Il y a des pays qui ont et déploient une diplomatie mesquite dans tous Les aspects de leur coopération internationale. Oui qu’il n’ y a que des intérêts à défendre. Oui aussi que tout accord doit être marqué du sceau » gagnant* gagnant ».
Et que les perspectives soient honorables dans le temps. Les Machiavels des relations diplomatiques devraient bien se tenir, car, malgré les accords signés hier ou aujourd’hui, tout peut en UN Rien chambouler, et la malisation de ces accords seront à l’ order du jour, irréversiblement. Gentlemen! C’ est comme cela que ça doit se faire, ou pas du tout. Bienvenus donc Les accords francs, et bien intentionnés, même dans le temps.
Théologien MAFFIRA