Cameroun : COVID-19, CHAN 2021, CAN 2022, le Comité National de Sûreté de l’aviation civile fait le point, à la veille de l’audit de sûreté de l’OACI

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Contrôle de passagers aéroport de Nsimalen. Crédit Photo: CCAA

L’audit de sûreté de l’aviation civile de l’OACI approche à grands pas. Mais le Cameroun semble vouloir parer au plus pressé. Avec un secteur grippé par la crise sanitaire de la COVID-19, le pays doit d’abord s’assurer de l’imperméabilité de ses aéroports, portes d’entrée les plus sensibles.

Ce vendredi, 16 octobre 2020, la question sanitaire était au cœur des travaux de la première session annuelle Conseil National de Sûreté de l’Aviation civile.

Depuis la découverte du premier cas en avril dernier, « L’on a assisté à la baisse des revenus des personnels employés, la faillite des compagnies aériennes et la suppression massive des emplois. Et certaines structures du secteur au Cameroun ont dues procéder à des licenciements », note l’Autorité de l’aéronautique civile (CCAA).

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Sur ce sujet, Jean Ernest Masséna Ngalle BIBEHE, ministre des Transports, et Président dudit Comité s’est réduit de la mise en place d’un train de mesures. Notamment la présentation systématique des tests négatifs au coronavirus par les passagers avant embarquement.

Mais au-delà de la crise sanitaire, le Conseil National de Sûreté de l’Aviation Civile s’est penché sur le niveau de préparation de l’organisation des deux compétitions sportives (CHAN 2021 et CAN 2022).

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L’audit de sûreté de l’OACI devrait permettre au Cameroun de mesurer son niveau de conformité. En 2018

 

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